En vérité, l'Islam a élevé le rang de la femme et lui fait honneur plus que toute autre religion. Les femmes dans l'Islam, sont les sœurs des hommes. Et le meilleur d'entre eux est celui qui se montre le plus bienfaisant envers son épouse.
Ainsi, la musulmane dans son enfance jouit du droit à l'allaitement, au soin et à la bonne éduction. Pendant cette période, elle fait la joie de ses parents et de ses frères.
Lorsqu'elle grandit, elle devient une jeune fille honorable et honorée: son tuteur veille jalousement sur elle, et la comble de ses soins. Il refuse qu'on fasse du tort, que ce soit par les gestes ou les paroles, et ne laisse pas le mal s'approcher d'elle.
Lorsqu'elle se marie, c'est avec la bénédiction de la parole d'Allah et dans le cadre d'un engagement solennel. Ainsi, elle trouve dans la maison du mari, le voisinage le plus précieux et jouit de la dignité la mieux protégée. Il incombe à son époux de l'honorer, d'être bon envers elle et de la préserver de tout préjudice.
Quand elle devient mère, la bienfaisance à son égard devient un devoir sacré, associé au devoir du croyant envers Allah –l'Exalté- et le fait de lui désobéir et de l'offenser est associé à l'association à Allah (polythéisme) et à la corruption sur terre.
Si elle est une sœur, son frère en tant que musulman se doit d'entretenir les liens de parenté vis-à-vis d'elle, de l'honorer et de la protéger de tout ce qui peut lui nuire.
Si elle est une tante maternelle, elle doit faire l'objet de la même bienfaisance que la mère.
Si elle est grand-mère, ou d'un age avancé, son mérite s'accroît auprès de ses enfants et de ses petits-enfants ainsi qu'auprès de tous ses proches parents. Presque aucune de ses demandes n'est rejetée, et aucune de ses opinions n'est méprisée.
Même si on n'a aucun lien de parenté ou aucune relation de voisinage avec elle, elle jouit des droits généraux de l'Islam tels la préservation du préjudice, l'abaissement du regard etc.
Les sociétés musulmanes respectent toujours ces droits de la meilleure manière; ce qui a conféré à la femme une valeur et un prestige qu'on ne retrouve pas dans les sociétés non musulmanes.
De plus, en Islam la femme jouit du droit à la propriété, elle peut louer, vendre, acheter des biens et signer tous les autres contrats. Elle a le droit à l'éducation et le d'enseigner tant que cela ne va pas à l'encontre de sa religion. Il y a même des sciences qu'il incombe à tous d'acquérir et celui qui les abandonne commet un péché, qu'il soit male ou femelle.
La femme a les mêmes droits que les hommes, excepté ceux qui sont spécifiques à chaque sexe.
Pour préserver l'honneur que l'Islam a accordé à la femme, il lui est commandé préserver et protéger sa dignité, et de se prémunir contre les propos obscènes, les perfides, et les gestes agressifs. Ainsi, il lui a ordonné de se voiler et de se couvrir, d'éviter d'étaler ses charmes, de se mêler aux hommes étrangers et plus généralement tout ce qui suscite l'attirance et la séduction.
L'un des privilèges que l'Islam a octroyés à la femme est qu'il a ordonné à l'homme de subvenir à ses besoins et d'avoir un bon comportement envers elle, a interdit de faire preuve d'injustice envers elle ou de lui causer du tort.
Autre bienfait encore, il a permis aux époux de se séparer s'il n'y a pas de concorde entre eux et s'ils n'ont pas réussi à mener une vie heureuse. Ainsi, il a permis à l'homme de divorcer d'elle, lorsque toutes les tentatives de réconciliation ont échoué, et que leur vie devient un enfer.
Il a également permis à la femme de se séparer de son époux s'il est injuste et a un mauvais comportement envers elle. Dans ce cas, elle a le droit de le quitter moyennant une contrepartie sur laquelle elle doit s'entendre avec son mari. Ainsi, elle lui donne quelque bien matériel, ou s'entend avec lui sur une chose précise, puis elle peut le quitter.
La permission accordée à l'homme d'avoir plus d'une épouse fait égale,ent partie des privilèges de la femme. L'Islam a per,is aux croyant d'épouser deux, trois, ou quatre femmes au maximum et la condition de la polygamie est qu'il doit etre équitable envers elles dans les dépenses, l'habillement et le partage des nuits. Et si l'homme se limite à une seule femme, c'est son droit.
Il y a dans la polygamie de grands avantages que ne comportennent pas ceux qui s'en prennent à l'Islam et ignorent la sagesse de ses législations. Voici quelques-unes des raisons qui expliquent l'autorisation de la polygamie:
1-L'Islam a interdit formellement la fornication, parce qu'elle entraine des dégats énormes et innombrables: elle est une menace pour la filiation légitime, aneantit la purdeur, souille, l'honneur et la dignité de la femme, elle est une honte qui tombe sur sa famille et ses proches parents.
La fornication porte préjudice à l'enfant qui en nait; en effet, il vivra exclu de toute lignée, dans le mépris et l'humiliation.
Elle génère aussi des malades psychiques ou physiques difficiles à soigner, parfois mortelles comme par exemple la blennorragie, la syphilis, l'herpès, le sida etc.
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Mais si l'Islam interdit la fornication, il accorde aussi à l'homme un cadre légitime où il peut trouver la quiétude, le calme et la tranquillité: il s'agit du mariage. En effet, l'Islam a prescrit le mariage et a permis la polygamie comme nous l'avons évoqué précédemment.
Il ne fait pas de doute que l'interdiction de la polygamie constitue une injustice envers l'homme et la femme. Son interdiction peut en effet pousser à la fornication, vu que de tout temps et en tout lieu, le nombre de femmes a toujours été supérieur à celui des hommes. C'est encore plus vrai en période de guerre. Ainsi, la limitation du mariage à une seule épouse a pour résultat de condamner un grand nombre de femmes au célibat, ce qui les met dans une situation souvent difficile et peut les conduire à la prostitution. La fornication se propage alors, ainsi que les naissances illégitimes.
2- Le mariage n'est pas seulement une jouissance physique:
Il apporte aussi la quiétude et le calme, ainsi que la possibilité d'avoir une descendance légitime. La place de l'enfant dans l'Islam n'est pas comparable à celle occupe dans les autres systèmes. En effet, ses parents ont des droits importants sur lui. Lorsqu'une femme a des enfants et assure leur éducation, ils sont la joie de ses yeux. Laquelle de ces deux situations es donc meilleure pour la femme: vivre dans l'aisance sous la responsabilité d'un homme qui la protège, la comble de soins et grâce à lui, avoir des enfants, qui, s'ils deviennent vertueux, seront la joie de ses yeux, ou alors vivre seule et abandonnée, se vautrant ici et là dans la honte?
3- La conception de l'Islam est juste et équilibrée:
L'Islam considère en effet toutes les femmes avec justice. La vision juste veut qu'on traite toutes les femmes avec équité.
S'il en est ainsi, quel est le péché des vieilles filles qui n'ont pas de mari?
Pourquoi ne pas regarder avec un œil de compassion et de tendresse celle qui a perdu son époux dans sa prime jeunesse? Pourquoi ignore-t-on la détresse de ces nombreuses femmes qui restent célibataires?
Qu'est-ce qui est préférable pour la femme: vivre dans l'aisance avec un mari qui a une autre épouse, et avoir ainsi la tranquillité du cœur, trouver celui qui prendra soin d'elle et grâce à qui elle aura des enfants; ou alors de rester célibataire toute sa vie?
Qu'est-ce qui est préférable pour la société: que certains hommes soient polygamie et que de cette manière, la société soit préservée des conséquences du célibat féminin; ou bien que personne ne prenne plus d'une épouse pour que les sociétés se réchauffent des feux de la perversion?
Qu'est-ce qui est préférable: qu'un homme ait deux; trois ou quatre épouses, ou bien qu'il en ait une seule et dix amantes, ou plus encore?
4- La polygamie n'est pas une obligation:
En effet, de nombreux musulmans ne pratiquent pas la polygamie. Tant qu'une seule femme leur suffit, ou s'ils ne sont pas capables d'être équitables, ils n'ont pas besoin de devenir polygamies.
5- La nature de la femme est différente de celle de l'homme:
Notamment en ce qui concerne la disposition de la femme aux rapports inti,es. En effet, elle n'est pas prête aux rapports inti,es à tout moment. En période de menstruation, elle peut être indisposée pour une durée pouvant atteindre dix jours ou deux semaines par mois.
La période des lochies, qui dure en général quarante jours est également un obstacle aux rapports intimes. Au cours de ces deux périodes, la copulation est interdite pas la législation islamique, en raison des méfaits évidents que cela provoque.
De plus, en cas de grossesse, il est possible que la femme soit moins disposée à avoir des rapports intimes avec son époux; d'autres raisons encore peuvent jouer en dehors de celle-ci.
Quant à l'homme, est en permanence disposé à avoir des rapports, tout au long du mois, et au cours de l'année. Lorsqu'on empêche certains hommes d'être polygamies, cela peut les pousser à commettre la fornication.
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6- La femme peut etre stérile et incapable d'enfance:
L'homme sera ainsi privé de descendance; mais grace à la polygamie, au lieu de répudier la femme stérile, il peut la garder et épouser une autre femme, qui elle sera féconde.
On peut se poser la question suivante: si le mari est stérile et la femme féconde, cette dernière a-t-elle le droit de se séparer de lui?
La réponse est affirmative. Elle est libre de faire cela si elle le désire.
7- L'épouse peut etre atteinte d'une maladie chronique:
Comme par exemple la paralysie ou autre, et ne peut done pas remplir ses devoirs auprès de son mari. Au lieu de la répudier, il la conserve et épouse une autre femme.
8- La femme peut avoir une mauvaise conduite:
Elle peut par exemple etre sauvage; d'une mauvaise moralité et ne pas prendre en compte les droite de son époux. Au lieu de la répudier, il la conserve et épouse une autre femme, par fidélité à sa première femme, pour préserver sa famille et sauvegarder l'intéret des enfants s'il en ont eu.
9- la capacité de reproduction de l'homme dépasse de loin celle de la femme:
En effet, l'homme peut avoir des enfants au-delà de l'age de soixante ans. Il est ,e,e possilble qu'au-delà de cent ans, il soit toujours en activité et capable de reproduire.
Quant à la femme, elle atteint la ménopause généralement à l'age de quarante ans, ou un peu plus tard. L'interdiction de la polygamie prive donc la communauté d'une plus nombreuse.
10- L'arrivée d'une seconde épouse, allège le fardeau de la première: En effet, la pre,ière femme se repose en partie des fardeau du mariage car il y a désormais quelqu'un pour l'aider et assumer une partie de ses devoirs envers le mari.
Aussi, certaines femmes sages, lorsqu'elles avancent en age et ne peuvent plus assurer leur devoir vis-à-vis du ,ari, lui conseillent la polygamie.
11- La recherche de la récompense: Une personne peut épouser une femme pauvre n'ayant pas de cotien de famille, ni personne pour s'occuper d'elle. Ainsi, il l'épouse dqns i'intention de l'aider à préserver sa chasteté et de s'occuper d'elle afin d'etre récompensé par Allah.
12- Celui qui a permis la polygamie n'est autre qu'Allah:
Il connait mieux ce qui est avantageux à Ses serviteurs et est plus miséricordieux pour eux-memes.
D'autres privilèges que l'Islam a accordés à la femmes:
Il lui a alloué une part dans l'héritage; ainsi, la mère, l'épouse, la fille, la soeur, etc. Ont chacune une part comme le détaille la législation islamique.
Par souci de justice, l'Islam a attribué à la femme la moitié de la part de l'homme dans l'héritage. Certains ignorants peuvent croire qu'il s'agit d'une injustice et dire: comment le fils peut-il avoir une part équivalente à celle de deux filles dans l'héritage? Pourquoi est-ce que la part de la femme est la moitié de celle de l'homme?
La réponse consiste à dire que celui qui a prescrit cette répartition n'est autre qu'Allah, le Sage par excellence, celui qui connait ce qui est avanageux pour Ses serviteurs.
De plus, quelle injustice y a-t-il dans tout cela? Le système islamique forme un tout dont les patriessont interdépendances. Il n'est donc pas juste d'observer un système ou une législation sous un seul angle sans le relier aux autres, il faut plutot l'observer sous tous ses angles. C'est de cette facon que l'on obtient une vision correcte des choses et que l'on peut porter un jugement valide.
Or, il est facile de constater le souci d'équité dont fait preuve l'Islam sur cette question, en rappelant qu'il oblige le mari à subvenir aux besoins de la femme et a égale,ent prescrit une dot obligatoire que l'époux doit verser à son épouse.
Supposons qu'un homme décède, laissant un garcon et une fille: dans le cadre de l'héritagz, le fils recoit le double de la part de sa soeur. Après, chacun d'eux se mari. Le fils, en se mariant, doit verser une dot, puis assu,er les frais du logement ainsi que les dépenses sur sa femme et ses enfants tout au long de sa vie.
Quant à sa soeur, elle recevra la dot de son mari, et n'aura aucune obligation de donner une partie de son héritage à son mari, ou de participer aux dépenses de sa maison et de subvenir aux besoins de ses enfants. Elle dispose à la fois de ce qu'elle a hérité de son père et de la dot qu'elle a recue de son mari. Or; il ne lui incombe pas e subvenir à ses propres besoinsn ni à ceux de ses enfants.
Le fait que le garcon ait recu le ouble de la part e la fille ne constitue-t-il pas une marque d'équité entre eux ?
Voila donc le rang de la femme dans l'Islam. Est-il possible de comparer les systèmes créés par les hommes au système islamique, qui est juste et céleste? Les systèmes terrestres ne garantissent pas la ignité de la femme. En effets, dans ces systèmes, le père se désengage e toute responsabilité envers safille dés que cette dernière atteint l'age de dix-huit ans ou meme avant cela, et elle trouve alors livrée à elle-meme, errant à la recherche d'un refuge qui la protège, et d'un bout de pain qui calme sa faim, meme si cela doit se faire au détriment de son honneur et des bonnes moeurs.
Peut-on comparer l'Islam qui a honoré la femme, et a fait d'elle une personne digne, aux systèmes qui font 'elle l'origin du péché, lui retirent son droit à la propriété et à la responsabilité, et lui font vivre dans l'humiliation et le mépris, en la considérant comme une créature impure?
Peut on comparer le respect que l'Islam a accordé à la femme à ces gens qui font de la femme une marchanise et exploitent son corps ans les publicités?
Peut on comparer la respect que l'Islam a accordé à la femme aux systèmes qui considèrent le mariage comme une transaction commerciale dans laquelle la femme devient le bien du mari? Au point qu'ils ont du tenir des conciles pour débattre de l'essence de la femme et de son ame et éterminer si elle était un etre humain, ou pas?!
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Ainsi, nous voyons que la femme musulmane est heureuse dans sa vie présente et dans l'au-delà, entourée d'abord de sa famille et sous la protection de ses parents, puis sous la garde de son époux, et enfin objet de la bonté se ses enfants; elle est toujours honorée, que ce soit dans enfance, dans sa jeunesse ou dans sa vieillesse, pauvre comme riche, qu'elle soit ,alade ou en bonne santé.
Si on peut noter ca et là des manque,ents aux droits de la femme dans certains pays musulmans ou de la part de certains adeptes de l'Islam, cela ne provient que de la faiblesse, l'ignorance et la négligence des individus vis-à-vis de la pratique des législation de la religion. Le blame doit etre imputé à celui qui comment la faute car la religion est innocente des conséquences de ces manquements.
Le remède à ces errances cosiste à revenir vers la voie droite de l'Islam et vers ses enseignements.
Telle est donc la situation de la femme dans l'Islam. On peut la résumer de manière succincte en quelques nobles et belles valeurs: vertu, chasteté, affection, compassion, protection, et pudeur.
Quant à la civilisation moderne, elle ne connait presque rien de ces concepts; elle voit plutot la femme sous un angle purement matériel, Elle estime que son voile et sa chasteté constituent une marque d'arriération et qu'elle n'est qu'un jouet avec lequel peut s'amuser le pre,ier dépravé venu. C'est là le secret du bonheur selon le point de vue de ces individus.
Ils ignorent que l'exhibition des charmes de la femme et son libertinage sont la cause de son malheur et de sa perte.
D'ailleurs, quelle est la relation entre le progrès et l'enseignement d'une part, et l'exhibition des charmes et desatours féminins, d'autre part?
Est-ce que le port des habits serrés, transparents et courts fait partie des outils de l'enseignement?
Quelle dignité veut-on pour la femme lorsqu'on se permet d'exploiter la beauté des femmes dans les publicités?
Pourquoi ne s'intresse-t-on qu'aux belles femmes, en oubliant les autres? Pourquoi, lorsque qvec les années, la beauté et le charme de ces dernières disaparaissent, sont-elles abandonnées et jetées, telles de vieilles denrées périmées?
Quelle place pour la femme au physique peu attrayant dans une telle civilisation? Quelle est la place de la mère agée, de la grand-mère et de la vieille femme en général?
Sa place, dans le ,eilleur des cas se trouve les ,aisons de retraite; on ne lui pas visite et ne demande pas de ses nouvelles.
Elle a souvent une pension de retraite ou quelque chose de ce genre, et en vit jusqu'à sa mort; il n'y a donc pas de pitié, ni de soutien familial dans cet univers.
Quant à la femme dans l'Islam, plus elle devient agée, plus on a du respect pour elle, plus ses enfants et ses proches parents rivalisent de bienfaisance envers elle, comme on l'a vu précédement. Vu qu'elle a accompli son devoir, il lui reste à jouir de ses droits auprès de ses enfants, de ses petits-enfants, de sa famille et de la société.
Quant à ceux qui prétendent que la chasteté et le voile sont une marque d'arriération, c'est là une allegation mensongère. Au contraire, c'est l'exhibisation des charmes féminins qui constitue un fléau et un signe d'arriération. Si l'on en veut la preuve, il suffit de regarder la situation des peuples primitifsdont l'état est encore proche des animaux sauvage. Ils n'accèdent à la civilisation qu'en gagnant la pudeur et la décence dans leurs tenue vestimentaire.
Les étapes de la progression de la civilisation humaine sont marquées par la régression de la nudité. En revanche, la civilisation occidentale, prisonnière d'une spirale de la décadence, s'achemine peu à peu vers la nudité totale, notamment dans les camps de nudistes de qui ont commencé à apparaitre après la première guerre mondiale et dont le fléau s'est encore aggravé au cours de ces dernières années.
Ainsi, nous voyons clairement l'importance du rang de la femme dans l'Islam et l'ampleur de la déchéance et du rabaissement qui l'affectent lorsqu'elle s'éloigne de l'Islam.